Parmi les personnes qu'il a tendu la main à Marc Andreessen , un 
enfant prodige au début de la première génération d' Internet qui est 
maintenant un investisseur Facebook et directeur et co- fondateur de la 
firme de capital-risque Andreessen Horowitz . " Mark a eu ce tigre par 
la queue, et je ne crois pas en ce moment, il n'avait jamais été un 
employé , encore moins un chef de la direction », se souvient Andreessen
 .Andreessen et d'autres autour de ces premiers jours de Facebook 
s'accordent à dire que personne ne savait vraiment comment l'entreprise 
serait en fin de compte des profits . Mais ce n'était pas la question. 
Que Zuckerberg a été construit n'était pas tant une affaire lucrative 
que c'était un atout de valeur sans précédent : une compilation massive 
de données sur les noms des personnes , des lieux , des comportements , 
des goûts et dégoûts , le type d'informations que les commerçants ne 
pouvaient pas même imaginer être disponible quelques années auparavant."
 Beaucoup de gens regarda Facebook et j'ai vu un site Web », se souvient
 Andreessen . «Aucune des personnes proches de marque et l'entreprise 
pensait de Facebook comme un site Web . doudoune ralph lauren pas cher
 Ils pensent qu'il s'agit d' un ensemble de données , une boucle de 
rétroaction " .Questions sans réponse , cependant, pèserait sur la 
société depuis des années: comment les commerçants peuvent profiter des 
données de façon à ce que fait Facebook une option de publicité 
attrayante ? N'étaient pas des annonces sur Internet au sujet de 
persuader les gens en ligne à cliquer sur quelque chose et l'acheter ? 
Facebook pourrait faire ce travail de modèle sur un site qui n'a pas été
 consacrée principalement à l'augmentation des ventes immédiates ? Et si
 elle ne pouvait pas , comment cette expérience dans les réseaux sociaux
 survivre?L'apprentissage de l'HistoireMois après mois , la popularité 
de la technologie a augmenté astronomiquement . En un an , le nombre 
d'utilisateurs du service gratuit explosé en 2500 pour cent, mais encore
 , on ne pouvait tout comprendre comment faire de l'argent de cette 
audience gigantesque . Nous parlons pas ici sur Facebook , mais sur la 
radio , qui , au premier abord, comme les réseaux sociaux , semblait 
destiné à être un flop financier. Et dans cette histoire et dans 
l'histoire de la publicité, des journaux aux leçons Google -Lie à 
retenir lorsque l'on considère les perspectives de Facebook .Au début 
des années 1920 , les Américains se précipitent pour acheter des postes 
de radio en tant que diffuseurs offert beaucoup de programmation, sans 
obtenir beaucoup en retour . Certains grands magasins ont essayé de 
vendre plus de récepteurs par l'ouverture des stations de diffusion de 
leurs propres. veste ralph lauren
 Mais la publicité ? C'était visuel , en utilisant des photos dans les 
magazines et les journaux.WEAF , un diffuseur à New York , était en 
désaccord . AT & T, le propriétaire de la station , a vu la radio 
comme une entreprise similaire au téléphone , une où le temps pourrait 
être vendu à un système de communication . La stratégie s'est 
concrétisée à 17h15 le 28 Août 1922, lorsque WEAF diffusé un spot 
publicitaire pour un immeuble d'appartements dans le Queens, New York. 
Une entreprise vendeur, identifié seulement comme M. Blackwell , annonce
 copie en lecture en direct pendant environ 10 minutes. La société a 
payé 100 $ pour le secteur commercial. doudoune ralph lauren pas cher
 Bientôt, la radio servait toutes les stratégies de marketing autrefois 
limité à imprimer, d'annoncer les ventes des magasins à la promotion des
 marques comme Chrysler et Goodrich .Puis vint le miracle de la 
télévision. Et une fois de plus , les annonceurs ont été flummoxed . 
Photographies et dessins sur les panneaux et dans les journaux - vous . 
Copie de l'annonce lue à la radio - ondes obtenu. Mais la télévision , 
avec des images animées , que faisaient-ils censés faire avec 
ça?L'après-midi du 1er Juillet 1941, la première publicité télévisée a 
couru sur NBC affilié WNBT . Il était un peu plus d' une tentative 
maladroite pour mélanger les images de la publicité imprimée avec les 
sons de la radio.
 
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