Polo LacosteTiens donc, le petit ne est déjà debout !
 s'écriatil. Tu es sans doute triste, se tournatil vers sa fille, de 
n'avoir pu épouser un vrai jeune homme ? Pas du tout, père, je l'aime 
tant que pour moi il est le plus beau du monde ; de toute ma vie, je ne 
veux que lui.Le roi fut surpris, mais son valet accourut et lui raconta 
tout. Ce n'est tout de même pas possible ! s'étonna le roi. Restez donc 
cette nuit dans leur chambre, vous verrez tout de vos propres yeux, lui 
conseilla le valet. Et j'ai encore une autre idée. Prenezlui sa peau et 
jetezla dans le feu. Polo Lacoste
  Polo Lacoste Homme Il ne lui restera plus qu'à se montrer sous sa 
véritable apparence. Très bonne idée, dit le roi.Le soir, lorsque les 
jeunes mariés dormaient, il se glissa comme une ombre dans leur chambre à
 coucher, il s'approcha du lit et au clair de lune il aper ut un beau 
jeune homme dormant paisiblement. La peau d' ne tée était par terre. Le 
roi l'emporta et fit allumer dehors un grand feu, puis il y fit jeter la
 peau. Et il veilla personnellement à ce qu'elle f t réduite en cendres.
 Et comme il voulait savoir comment le petit ne volé allait réagir, il 
resta é veillé toute la nuit. Polo Lacoste Homme
  Polo Lacoste pas cherl'aube, dès qu'il se réveilla, le jeune homme se 
leva et voulut se glisser à nouveau dans sa peau d' ne ; mais il la 
chercha en vain. Il en fut horrifié et il 'écria avec une voix pleine 
d'épouvante : Il ne me reste plus qu'à fuir !Il sortit de la chambre, 
mais le roi l'y attendait. Où vastu, cher fils, l'interpellatil. Que 
veuxtu faire ? Reste ici : tu es un beau jeune homme et je ne te 
laisserai pas partir. Je te donnerai tout de suite la moitié de mon 
royaume et, après ma mort, tu seras le ma tre du pays tout entier. 
Pourvu que ce bon début présage une bonne fin, dit le jeune homme.Le 
vieux roi lui donna la moitié du royaume, et quand il mourut l'année 
suivante, le jeune roi devint le ma tre du pays tout entier. Polo Lacoste pas cher
 Et après la mort de son propre père, il hérita également du royaume 
natal. Il vécut ainsi majestueusement. Il était une fois un pauvre b 
cheron qui travaillait du matin au soir. S'étant finalement mis quelque 
argent de c té, il dit à son fils : Tu es mon unique enfant. Je veux 
consacrer à ton instruction ce que j'ai durement gagné à la sueur de mon
 front. Apprends un métier honnête et tu pourras subvenir à mes besoins 
quand je serai vieux, que mes membres seront devenus raides et qu'il me 
faudra rester à la maison. Le jeune homme fréquenta une haute école et 
apprit avec zèle. 
 
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