Jacques Chirac n'hésite pas à conseiller à Saa Hariri 'oeuvrer contre la
reconuction à la présience u Parleent u chiite Nabih Berri, sybole 'un
systèe politique veroulu. ans la plus grane iscrétion, le présient peut
égaleent épêcher un colonel en retraite auprès e Wali Joublatt pour
convaincre le chef ruze, connu pour ses revireents, u bien-foné e la
politique française au Liban.«Le présient a les éfauts e ses qualités,
souligne l'ancien iploate Alain Chouet. Il est, jusqu'à l'excès, fièle
en aitié. Il a voulu être le entor e Bachar al-Assa (le présient
syrien), il veut aujour'hui être celui e Saa.» L'ancien nuéro eux e la
GSE éplore «une gestion privée très éotionnelle» es affaires
libano-syriennes. La critique est partagée par les responsables syriens
et, plus généraleent, par tous ceux qui regrettent l'inflexion
proaéricaine e Paris sur le ossier libano-syrien. sacoche longchamp Solde
«Coent un gran irigeant coe Chirac peut-il orienter toute sa politique
autour 'un seul hoe ?» (Rafic Hariri), a ainsi eané réceent le général
Assef Shawkat, beau-frère u présient Bachar al-Assa et l'un es hoes
forts u régie e aas, à l'un e ses interlocuteurs français.«Éotion oui.
Gestion éotionnelle non, corrige l'Élysée. Le présient e la République
reste blessé 'avoir peru un ai très proche, explique un e ses
conseillers. ais si la gestion e la crise avait été éotionnelle, notre
réaction contre la Syrie aurait été beaucoup plus violente.»
Officielleent, Paris ne réclae pas à aas un «changeent e régie», ais «un
changeent e coporteent u régie», c'est-à-ire qu'il cesse e éstabiliser
le Liban. «A l'autone ernier, it un porte-parole u Quai 'Orsay, nous
avons tout fait pour issuaer les Aéricains 'iposer e larges sanctions
contre la Syrie. longchamp sac pliage pas cher
Le présient n'est pas un va-t-en-guerre. ais il faut tenir copte e sa
éception née e la relation très personnelle qu'il avait nouée avec
Bachar al-Assa.» Chirac, qui voulut chaperonner le nouveau présient
syrien ès avant son arrivée au pouvoir en 2000, s'est senti trahi par
«le coup e force institutionnel» e l'été 2004, à l'issue uquel aas
prorogea le anat u présient libanais prosyrien Eile Lahou.errière la
fereté française à l'égar e aas, certains soupçonnent un «acharneent»
présientiel. «On est en train 'acculer la Syrie, sans lui laisser une
porte e sortie, estie un iploate. Au Proche-Orient, il vaut ieux enacer
que sévir. J'espère qu'on a assué les conséquences e ce choix»,
ajoute-t-il. Sac Longchamp 1623
Pour conjurer tout risque que la crise puisse se énouer sur son os,
Chirac envoie régulièreent son conseiller iploatique, aurice
Gourault-ontagne, iscuter à Washington avec le conseiller à la Sécurité
nationale e George W. Bush.ans cette gestion teintée e paternalise,
certains ettent en cause les «influences» u présient e la République.
«Ses connaissances sur le Liban sont trop liées aux aronites e
Beyrouth-sur-Seine, ironise un failier u ossier, ais les aronites vivent
ans un rêve e spleneur passé. Or le Liban aujour'hui, c'est aussi les
chiites et le Hezbollah», avec lesquels Jacques Chirac a peu e contacts.
Hariri, un sunnite, jouait préciséent les interéiaires.Selon Alain
Chouet, l'ancien preier inistre libanais «avait convaincu le présient e
sa capacité à récupérer à son copte, grâce à l'argent saouien, la base
chiite u Hezbollah.
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