Tout est charme dans ce spectacle, même la méchanceté, voire la cruauté,
 même l'ombre de tristesse qui en brouille le dénouement, tout est 
positif, et c'est bien, parce qu'on ne va quand même plus faire de 
Pygmalion une comédie dramatique ni un drame social. Tant d'autres 
tragédies ont coulé depuis cent ans sous les ponts du théâtre ! Tout est
 charme : les ingénieux décors démodés de Stehlé, les amusants costumes 
de Michel Fresnay, les lumières, les accessoires, tout, et d'abord une 
interprétation d'une qualité remarquable. On citera bien sûr, au premier
 rang, le couple Barbara Schulz-Nicolas Vaude. Divin. Elle est exquise, 
même lorsqu'elle crie un peu trop fort au premier acte, elle est 
émouvante, adorable. Il est encore plus Vaude que jamais, il rajeunit, 
il rénove le rôle. Danièle Lebrun, merveilleuse, comme toujours. vetement burberry pas cher
  Et tous les autres : Odile Mallet, Henri Courseaux, etc. Calmons-nous.
 Certains vous diront : c'est du premier degré. On répondra : tant 
mieux. Pour une fois ! C'est tellement sympathique.De George-Bernard 
Shaw Adaptation : Claude-André Puget. Mise en scène : Nicolas Briançon. Soldes Vetement burberry
  Avec Barbara Schulz, Nicolas Vaude et Danièle Lebrun.A l'heure où les 
réverbères jettent des lueurs artificielles sur les trottoirs de Buenos 
Aires, le monde marginal de la nuit se réveille. C'est celui des 
hommes-poubelles, des prostituées, des travestis et des gars comme 
Victor. A l'affût d'une récolte incertaine, le séduisant jeune homme 
erre dans la ville entre trafic de drogue et prostitution, vie de rue et
 soirées privées. On le suit dans ses déambulations nocturnes, prétextes
 inattendus pour des parties de foot improvisées avec des enfants et 
quelques rires. Un film certes sombre et réaliste mais flirtant aussi 
avec le fantastique quand il tire le spectateur vers le monde onirique 
des morts et des vivants. Aussi envoûtant qu'un air de tango. burberry pas cher
 Si Rashtrapati Bhavan m'était conté... Versailles en rougirait. Ce 
n'est plus un palais, c'est un superlatif, une ville dans la ville, une 
capitale dans la capitale. On peut pourtant visiter New Delhi, y vivre 
même, sans soupçonner l'existence de cette extraordinaire résidence 
présidentielle emmitouflée dans un parc de 160 hectares. Une muraille de
 verdure d'autant plus infranchissable que, depuis le triple attentat 
terroriste du 29 octobre dernier, qui avait fait 61 morts et 210 
blessés, l'armée et la police ont renforcé leurs unités.
 
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