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Hélas, la seconde pèche par un scénario tiré par les cheveux et empreint de manichéisme. Les photographes de la presse à scandale sont représentés comme des vautours ignobles et leur cible comme un pauvre innocent persécuté. Un tableau soudain si contrasté qu'il bascule dans la caricature.Moyen Tous les fonds immobiliers se ruent sur Paris pour y acheter des bureaux. Pourquoi pas vous ? Trop cher ? Marché inaccessible ? Pas si sûr. Les prix des petites surfaces de bureaux n'ont pas connu la même envolée que ceux du logement. Dans certains quartiers, les valeurs sont même moins élevées que celles des appartements : de 2 500 euros du mètre carré en banlieue à 5 000 euros sur le marché particulier de la Défense, elles s'étalent de 3 500 euros à 7 500 euros dans la capitale. Longchamp pliage pas cher
A condition de trouver un locataire, et ils sont nombreux à rechercher de petites surfaces, le calcul se tient. De plus en plus de particuliers ou de patrons de PME se lancent dans l'aventure comme s'ils achetaient leur résidence principale. Mêmes règles d'endettement, mêmes taux bas (pour combien de temps encore ?), mêmes impôts sur les plus-values... Mieux, la valeur de cet outil de travail est décotée pour le calcul de l'impôt de solidarité sur la fortune. Même les droits de mutation, qui sont passés de 4,8% du montant investi à 5,05% au 1er janvier dernier, ne constituent pas un réel obstacle. Sacs Longchamp en soldes Avec 20% d'apport et un crédit sur quinze ans, les mensualités à rembourser à la banque ne dépassent pas celles d'un loyer. Encore plus simple s'il est payé par l'entreprise locataire de son propre dirigeant. Attention toutefois à la «double peine» en cas de difficultés économiques : le chef d'entreprise en faillite peut vider ses locaux et priver de ressources son bailleur, c'est-à-dire lui-même. Les bureaux sont aussi des locaux transformables... en logements. Sac Longchamp pliage
Là où les règlements urbanistiques le permettent, (dans certains quartiers, le changement d'affectation des immeubles n'est plus autorisé, afin d'y conserver des emplois), l'idée refait surface : une fois réaménagés pour environ 1 000 euros du mètre carré, ces appartements peuvent se vendre plus cher que des bureaux moyennement fonctionnels. Mieux, dans le centre de Paris, leur acquéreur peut revendre leur «commercialité», c'est-à-dire le statut attaché à ces surfaces tertiaires. Comme la capitale n'autorise pas la création nette de bureaux, un propriétaire qui transforme un ancien bureau en logement peut revendre ce titre à un acheteur désireux de faire l'opération inverse. Le marché n'est régi que par l'offre et la demande. Il fonctionne par petites annonces dans la presse généraliste ou spécialisée et demande quelques conseils avisés sur la procédure à suivre. Les prix d'une commercialité dans les quartiers centraux oscillent entre 800 et 1 800 euros du mètre carré. De quoi rembourser les travaux.