Nous aurions évité un 
malheur ! La porte de la «Chambre Jaune» fermée, mademoiselle, vous 
vouscouchez ? Oui, et, très fatiguée, je dors tout de suite. polos 
lacoste pas cher La veilleuse était restée allumée ? Oui ; mais elle 
répand une très faible clarté Alors, mademoiselle, dites ce qui est 
arrivé ? Je ne sais s’il y avait longtemps que je dormais, mais soudain 
je meréveille Je poussai un grand cri . Oui, un cri horrible À 
l’assassin ! Je l’ai encore dans les oreilles Vous poussez un grand cri ?
 Un homme était dans ma chambre. Il se précipitait sur moi, memettait la
 main à la gorge, essayait de m’étrangler. J’étouffais déjà ; tout 
àcoup, ma main, dans le tiroir entrouvert de ma table de nuit, parvint 
àsaisir le revolver que j’y avais déposé et qui était prêt à tirer. À ce
 moment, l’homme me fit rouler à bas de mon lit et brandit sur ma tête 
uneespèce de masse. Mais j’avais tiré. polos lacoste pas cher
  Aussitôt, je me sentis frappée par ungrand coup, un coup terrible à la
 tête.Tout ceci, monsieur le juge, futplus rapide que je ne le pourrais 
dire, et je ne sais plus rien. Plus rien ! Vous n’avez pas une idée de 
la façon dont l’assassina pu s’échapper de votre chambre ? Aucune idée 
Je ne sais plus rien. On ne sait pas ce qui se passeautour de soi quand 
on est morte ! Cet homme étaitil grand ou petit ? Je n’ai vu qu’une 
ombre qui m’a paru formidable Vous ne pouvez nous donner aucune 
indication ? Monsieur, je ne sais plus rien ; un homme s’est rué sur 
moi, j’ai tiré sur lui Je ne sais plus rien Ici se termine 
l’interrogatoire de Mlle . Joseph Rouletabilleattendit patiemment Robert
 Darzac. Celuici ne tarda pas àapparaître. Dans une pièce voisine de la 
chambre de Mlle , il avaitécouté l’interrogatoire et venait le rapporter
 à notre ami avec une grandeexactitude, une grande mémoire, et une 
docilité qui me surprit encore. chaussures lacoste pas cher
 Grâce aux notes hâtives qu’il avait prises au crayon, il put 
reproduirepresque textuellement les demandes et les réponses. chaussures
 lacoste pas cher En vérité, Darzac avait l’air d’être le secrétaire de 
mon jeune ami etagissait en tout comme quelqu’un qui n’a rien à lui 
refuser ; mieux encore, quelqu’un « qui aurait travaillé pour lui ». Le 
fait de la « fenêtre fermée » frappa beaucoup le reporter comme ilavait 
frappé le juge d’instruction. En outre, Rouletabille demanda à M.Darzac 
de lui répéter encore l’emploi du temps de et Mlle le jour du drame, tel
 que Mlle et l’avaient établi devant le juge. La circonstance du dîner 
dans le laboratoire semblal’intéresser au plus haut point et il se fit 
redire deux fois, pour en êtreplus sûr, que, seul, le garde savait que 
le professeur et sa fille dînaientdans le laboratoire, et de quelle 
sorte le garde l’avait su. Quand Darzac se fut tu, je dis : « Voilà un 
interrogatoire qui ne fait pas avancer beaucoup leproblème. survetement lacoste pas cher
  Il le recule, obtempéra Darzac. survetement lacoste pas cher Il 
l’éclaire », fit, pensif, Rouletabille. Chapitre Reporter et 
policierNous retournâmes tous trois du côté du pavillon. À une centaine 
demètres du bâtiment, le reporter nous arrêta, et, nous montrant un 
petitbosquet sur notre droite, il nous dit : « Voilà d’où est parti 
l’assassin pour entrer dans le pavillon. » Comme il y avait d’autres 
bosquets de cette sorte entre les grandschênes, je demandai pourquoi 
l’assassin avait choisi celuici plutôt queles autres ; Rouletabille me 
répondit en me désignant le sentier qui passait tout près de ce bosquet 
et qui conduisait à la porte du pavillon. « Ce sentier est garni de 
graviers, comme vous voyez, fitil. Il faut quel’homme ait passé par là 
pour aller au pavillon, puisqu’on ne trouve pasla trace de ses pas du 
voyage aller, sur la terre molle. 
 
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