Je retournai à ma place et je pusconstater tout
 de suite que le public n’attachait qu’une importance relative à ce qui 
se passait alors, et qu’il attendait impatiemment six heureset demie. 
Ces six heures et demie sonnèrent et Joseph Rouletabille fut à 
nouveauintroduit. Décrire l’émotion avec laquelle la foule le suivit des
 yeux à labarre serait impossible. On ne respirait plus. T shirt lacoste
 femme Quand nous avons quitté le Glandier pour la dernièrefois, je 
connaissais les deux moitiés de l’assassin et le nom de l’une de 
cesmoitiés. C’est le nom de l’autre moitié que je suis allé chercher 
enAmérique… » Nous entrions, à ce moment, dans la salle des témoins. Ils
 vinrent tousà Rouletabille avec force démonstrations. T shirt lacoste femme
  Le reporter fut très aimable, sice n’est avec Arthur Rance auquel il 
montra une froideur marquée. Frédéric Larsan entrant alors dans la 
salle, Rouletabille alla à lui, lui administra une de ces poignées de 
main dont il avait le douloureux secret, etdont on revient avec les 
phalanges brisées. Pour lui montrer tant de sympathie, Rouletabille 
devait être bien sûr de l’avoir roulé. Larsan souriait,sûr de luimême et
 lui demandant, à son tour, ce qu’il était allé faire enAmérique.M. 
Robert Darzac s’était levé à son banc. Il était « pâle comme un mort ». T shirt lacoste pas cher
  Le président dit avec gravité : « Je ne vous fais pas prêter serment, 
monsieur ! Vous n’avez pas été cité régulièrement. Mais j’espère qu’il 
n’est pas besoin de vous expliquertoute l’importance des paroles que 
vous allez prononcer ici… » Et il ajouta, menaçant : « Toute 
l’importance de ces paroles… pour vous, sinon pour lesautres ! … » 
Rouletabille, nullement ému, le regardait. Il dit : « Oui, m’sieur ! – 
Voyons, fit le président. Nous parlions tout à l’heure de ce petit 
boutde cour qui avait servi de refuge à l’assassin, et vous nous 
promettiez denous dire, à six heures et demie, comment l’assassin s’est 
enfui de ce bout de cour et aussi le nom de l’assassin. T shirt lacoste 
pas cher Il est six heures trentecinq,monsieur Rouletabille, et nous ne 
savons encore rien ! – Voilà, m’sieur ! commença mon ami au milieu d’un 
silence si solennel que je ne me rappelle pas en avoir « vu » de 
semblable, je vous ai ditque ce bout de cour était fermé et qu’il était 
impossible pour l’assassin des’échapper de ce carré sans que ceux qui 
étaient à sa recherche s’en aperçussent. C’est l’exacte vérité. Quand 
nous étions là, dans le carré de boutde cour, l’assassin s’y trouvait 
encore avec nous ! – Et vous ne l’avez pas vu ! … c’est bien ce que 
l’accusation prétend… – Et nous l’avons tous vu ! monsieur le président,
 s’écria Rouletabille. Doudoune Lacoste homme
  – Et vous ne l’avez pas arrêté ! … – Il n’y avait que moi qui sût 
qu’il était l’assassin. Et j’avais besoin quel’assassin ne fût pas 
arrêté tout de suite ! Et puis, je n’avais d’autrepreuve, à ce moment, 
que « ma raison » ! Oui, seule, ma raison me prouvait que l’assassin 
était là et que nous le voyions ! J’ai pris mon tempspour apporter, 
aujourd’hui, en cour d’assises, une preuve irréfutable, etqui, je m’y 
engage, contentera tout le monde. – Mais parlez ! parlez, monsieur ! 
Ditesnous quel est le nom del’assassin, fit le président… – Vous le 
trouverez parmi les noms de ceux qui étaient dans le bout decour », 
répliqua Rouletabille, qui, lui, ne semblait pas pressé… On commençait à
 s’impatienter dans la salle… « Le nom ! Le nom ! murmuraiton… 
Rouletabille, sur un ton qui méritait des gifles, dit : « Je laisse un 
peu traîner cette déposition, la mienne, m’sieur le président, parce que
 j’ai des raisons pour cela ! … – Le nom ! Le nom ! répétait la foule. –
 Silence ! » glapit l’huissier. Doudoune Lacoste homme Arthur Rance ? – 
Non, m’sieur ! – Je ne comprends plus ! … Où voulezvous en venir ? … il 
n’y avaitplus personne dans le bout de cour. – Si, m’sieur ! … il n’y 
avait personne dans le bout de cour, ni audessous, mais il y avait 
quelqu’un audessus, quelqu’un penché à sa fenêtre,sur le bout de cour… –
 Frédéric Larsan ! s’écria le président. – Frédéric Larsan ! » répondit 
d’une voix éclatante Rouletabille. 
 
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