2014年12月10日星期三

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Il y avait des moments où je me demandais s’il ne se payait point ma tête. lacoste soldes La porte de l’auberge s’ouvrit. Rouletabille fut debout, si subitement, qu’on eût pu croire qu’il venait de subir sur son siège une décharge électrique. « Mr Arthur Rance ! » s’écriatil. M. Arthur Rance était devant nous, et, flegmatiquement, saluait. Chapitre Un geste de Mlle « Vous me reconnaissez, monsieur ? demanda Rouletabille au gentleman. Hoodie Lacoste pas cher
– Parfaitement, répondit Arthur Rance. polo lacoste pas cherJ’ai reconnu en vous le petit garçon du buffet. (Visage cramoisi de colère de Rouletabille à ce titre de petit garçon.) Et je suis descendu de ma chambre pour venir vous serrer la main. Vous êtes un joyeux petit garçon. » Main tendue de l’américain ; Rouletabille se déride, serre la main en riant, me présente, présente Mr ArthurWilliam Rance, l’invite à partager notre repas. « Non, merci. polo lacoste pas cher Je déjeune avec » Arthur Rance parle parfaitement notre langue, presque sans accent.« Je croyais, monsieur, ne plus avoir le plaisir de vous revoir ; ne deviezvous pas quitter notre pays le lendemain ou le surlendemain de la réception à l’Élysée ? » Rouletabille et moi, en apparence indifférents à cette conversation de rencontre, prêtons une oreille fort attentive à chaque parole de l’Américain. La face rose violacée de l’homme, ses paupières lourdes, certains tics nerveux, tout démontre, tout prouve l’alcoolique. Comment ce triste individu estil le commensal de M. ? Comment peutil être intime avec l’illustre professeur ? Je devais apprendre, quelques jours plus tard, de Frédéric Larsan – le quel avait, comme nous, été surpris et intrigué par la présence de l’Américain au château, et s’était documenté – que M. Rance n’était deve nu alcoolique que depuis une quinzaine d’années, c’estàdire depuis le départ de Philadelphie du professeur et de sa fille. À l’époque où les habitaient l’Amérique, ils avaient connu et beaucoup fré quenté Arthur Rance, qui était un des phrénologues les plus distingués du Nouveau Monde. lacoste soldes
Il avait su, grâce à des expériences nouvelles et in génieuses, faire franchir un pas immense à la science de Gall et de Lavater. lacoste pas cherEnfin, il faut retenir à l’actif d’Arthur Rance et pour l’explication de cette intimité avec laquelle il était reçu au Glandier, que le savant américain avait rendu un jour un grand service à Mlle , en ar rêtant, au péril de sa vie, les chevaux emballés de sa voiture. Il était même probable qu’à la suite de cet événement une certaine amitié avait lié momentanément Arthur Rance et la fille du professeur ; mais rien ne faisait supposer, dans tout ceci, la moindre histoire d’amour. Où Frédéric Larsan avaitil puisé ses renseignements ? Il ne me le dit point ; mais il paraissait à peu près sûr de ce qu’il avançait. Si, au moment où Arthur Rance nous vint rejoindre à l’auberge du « Donjon », nous avions connu ces détails, il est probable que sa présence au château nous eût moins intrigués, mais ils n’auraient fait, en tout cas, « qu’augmenter l’intérêt » que nous portions à ce nouveau personnage. L’américain devait avoir dans les quarantecinq ans. Il répondit d’une fa çon très naturelle à la question de Rouletabille : « Quand j’ai appris l’attentat, j’ai retardé mon retour en Amérique ; je voulais m’assurer, avant de partir, que Mlle n’était point mortellement atteinte, et je ne m’en irai que lorsqu’elle sera tout à fait rétablie. polo lacoste pas cher » Arthur Rance prit alors la direction de la conversation, évitant de ré pondre à certaines questions de Rouletabille, nous faisant part, sans que nous l’y invitions, de ses idées personnelles sur le drame, idées qui n’étaient point éloignées, à ce que j’ai pu comprendre, des idées de Fré déric Larsan luimême, c’estàdire que l’Américain pensait, lui aussi, que M. lacoste homme pas cher Robert Darzac « devait être pour quelque chose dans l’affaire ». Il ne le nomma point, mais il ne fallait point être grand clerc pour saisir ce qui était au fond de son argumentation. Il nous dit qu’il connaissait les efforts faits par le jeune Rouletabille pour arriver à démêler l’écheveau embrouillé du drame de la «Chambre Jaune». Il nous rapporta que M. l’avait mis au courant des événements qui s’étaient déroulés dans la « galerie inexplicable ». On devinait, en écoutant Arthur Rance, qu’il expliquait tout par Robert Darzac.

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