2014年3月18日星期二

Polo Lacoste homme D

On peut se poser la question. Elle aurait pu dire immédiatement : "J'ai reçu du procureur, comme il en a l'obligation, une synthèse de la procédure en cours sur l'affaire Sarkozy-Azibert-Hertzog". Il y a là une maladresse puisque juridiquement, elle devait le savoir. Au-delà, la question est de savoir si le droit actuellement établi est conforme aux principes de séparation des pouvoir et d'indépendance de la justice.Non. La France se demande depuis des dizaines années si elle doit donner à l'autorité judiciaire son indépendance. Sous la IVe République, la justice était sous l'influence du pouvoir législatif. Lacoste pas cher
Sous la Ve République, elle était sous l'influence du pouvoir exécutif. Va-t-on enfin rendre la justice indépendante ? La question qui se pose aujourd'hui. Et la droite, et la gauche hésitent. Notre culture politique et juridique conduit à considérer la Justice comme un organe soumis et suborné au pouvoir politique. Et ce depuis 1789, puisque la Révolution française s'est faite contre les juges, leur interdisant de contrôler l'administration et les lois. C'est totalement différent des autres pays européens.Les politiques, quand ils sont au pouvoir considèrent qu'il est mieux d'avoir la maîtrise de la justice. Polo Lacoste homme D'alternance en alternance, il y a une reproduction. Lorsque la droite est dans l'opposition, elle promet qu'elle donnera l'indépendance à la justice. Puis quand elle est au pouvoir, elle est très contente de nommer les procureurs qui suivront sa politique. Et la gauche fait à peu près la même chose mais œuvre quand même davantage pour l'indépendance.Trois exemples l'illustrent. Le premier : la réforme Guigou, sous Jospin, a été bloquée par Jacques Chirac en 1999 qui n'a pas voulu convoquer le congrès pour réviser la Constitution. Cette réforme avait pour objet principal d'accorder plus de compétences au Conseil supérieur de la magistrature et d'assurer l'indépendance du parquet. Polo Lacoste femme
Deuxième exemple : pour la nomination du parquet, il faut l'avis simple du Conseil supérieur de la magistrature Le ministre propose le nom d'un procureur, le CSM donne son avis mais le ministre peut passer outre. Les ministres de gauche n'ont jamais passé outre un avis négatif. A droite en revanche, c'est arrivé régulièrement. Par exemple, pour Philippe Courroye, le CSM avait émis un avis négatif pour sa nomination à Bobigny mais le ministre l'a quand même nommé. Ce qui montre bien la dépendance du parquet à l'égard du pouvoir politique.Enfin, après l'élection de François Hollande, la ministre de la Justice a préparé une réforme de la Constitution pour étendre les compétences du CSM et notamment, faire en sorte que les membres du parquet soient nommés sur avis conforme et non sur avis simple. La droite a fait échouer cette réforme en refusant de la voter.

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