Seules de grandes palmes blanches s'étalent,marquées de nervures et 
de  bavures, prises dans une sorte de gel.Mais l'équi juge qu'ici tout  
amerrissage est interdit. Cespalmes sont, pour lui, semblables à de  
grandes fleurs vénéneuses. Et même le voyage est un voyage heureux, le  
pilote quinavigue quelque part, sur son tronçon de ligne, n'assiste pas à
  unsimple spectacle. Ces couleurs de la terre et du ciel, ces traces  
devent sur la mer, ces nuages dorés du crépuscule, il ne les  
admirepoint, mais les médite. Semblable au paysan qui fait sa  
tournéedans son domaine et qui prévoit, à mille signes, la marche  
duprintemps, la menace du gel, l'annonce de la pluie, le pilote  
demétier, lui aussi, déchiffre des signes de neige, des signes debrume, 
 des signes de nuit bienheureuse. La machine, qui semblaitd'abord l'en  
écarter, le soumet avec plus de rigueur encore auxgrands problèmes  
naturels. carrera lunettes de soleil
Seul au milieu du vaste tribunal qu'unciel de tempête lui compose, ce  
pilote dispute son courrier à troisdivinités élémentaires, la montagne, 
 la mer et l'orage. Quelques camarades, dont Mermoz, fondèrent la  
lignefrançaise de Casablanca à Dakar, à travers le Sahara insoumis.Les  
moteurs d'alors ne résistant guère, une panne livra Mermozaux Maures ;  
ils hésitèrent à le massacrer, le gardèrent quinzejours prisonnier, puis
  le revendirent. Et Mermoz reprit sescourriers audessus des mêmes  
territoires. Lorsque s'ouvrit la ligne d'Amérique, Mermoz, toujours  
àl'avantgarde, fut chargé d'étudier le tronçon de Buenos Aires àSantiago
  et, après un sur le Sahara, de bâtir un pont audessusdes Andes. On lui
  confia un avion qui plafonnait à cinq mille deuxcents mètres. Les 
crêtes  de la Cordillère s'élèvent à sept millemètres. carrera lunettes
 Et Mermoz décolla chercher des trouées. Après le sable,Mermoz affronta 
 la montagne, ces pics qui, dans le vent, lâchentleur écharpe de neige, 
 ce palissement des choses avant l'orage, cesremous si durs qui, subis  
entre deux murailles de rocs, obligent lepilote à une sorte de lutte au 
 couteau. Mermoz s'engageait dansces combats sans rien connaître de  
l'adversaire, sans savoir si l'onsort en vie de telles étreintes. Mermoz
  essayait pour lesautres. Enfin, un jour, à force d'essayer , il se  
découvrit prisonnierdes Andes. Échoués, à quatre mille mètres  
d'altitude, sur un plateau auxparois verticales, son mécanicien et lui  
cherchèrent pendant deuxjours à s'évader. Ils étaient pris. lunettes carrera pas cher
Alors, ils jouèrent leur dernièrechance, lancèrent l'avion vers le  
vide, rebondirent durement surle sol inégal, jusqu'au précipice, où ils 
 coulèrent. L'avion, dans la chute, prit enfin assez de vitesse pour  
obéir de nouveau auxcommandes. Mermoz le redressa face à une crête,  
toucha la crête,et, l'eau fusant de toutes les tubulures crevées dans la
  nuit par legel, déjà en panne après sept minutes de vol, découvrit la 
 plainechilienne, sous lui, comme une Terre promise. Le lendemain, il  
recommençait. Quand les Andes furent bien explorées, une fois la  
techniquedes traversées bien au point, Mermoz confia ce tronçon à  
soncamarade Guillaumet et s'en fut explorer la nuit. L'éclairage de nos 
 escales n'était pas encore réalisé, et sur lesterrains d'arrivée, par  
nuit noire on alignait en face de Mermoz lamaigre illumination de trois 
 feux d'essence. Il s'en tira et ouvrit la route.
http://www.aumax.com/ralphla/?page=articles&cat=shoppingonline&title=1ilnedonnapointd%27autreexplicationsurlunettescarrera&id=372526452
http://www.americanbang.com/blog/ralphla/1il-nedonna-point-dautre-explication-sur-lunettes-carrera
http://www.wearegeeksnotnerds.com/apps/blog/show/32168214-1il-nedonna-point-d-autre-explication-sur-lunettes-carrera/
http://ralphla.liveblog.com/post/168595/1ilnedonnapointdautre.html
http://dubstepdirt.com/activity/p/639505/
http://blog.chinaunix.net/uid-29044780-id-3857368.html 
 
没有评论:
发表评论